jeudi 15 novembre 2018

L'été avant la guerre de Helen Simonson
critiqué par Aifelle
Sous la soie de Marie-Claire Mazeillé
critiqué par Eireann Yvon
Le bal mécanique de Yannick Grannec
critiqué par Antigone
Un monde à portée de main de Maylis de Kerangal
critiqué par Jehanne
Seul de Richard Byrd
critiqué par Le Bouquineur
Un gentleman à Moscou de Amor Towles
critiqué par Éléonore W.
Une main encombrante (10) de Henning Mankell
critiqué par Tistou
Winter, notes from Montana de Rick Bass
critiqué par Mapero
Albert Camus Souvenirs de Jean Grenier
critiqué par Dominique
Camus ou les promesses de la vie de Daniel Rondeau
critiqué par Dominique
Albert Camus De l’absurde à l’amour de André Comte-Sponville
critiqué par Dominique
Dès 08 ans: Hilda et le peuple caché - Tome 1 de Stéphen Davies
critiqué par Laël
Dès 07 ans: Cinq minutes et des sablés de Stéphane Servant
critiqué par Appoline et sa grand-mère
Le Meurtre du Commandeur, livre 1 : Une idée apparaît de Haruki Murakami
critiqué par Sibylline
Trois fois dès l’aube de Alessandro Baricco
critiqué par Le Collectionneur de livres
Le fight club féministe de Jessica Bennett
critiqué par Cathulu
Wanderer de Sarah Léon
critiqué par Cetalir
Les écureuils de central Park sont tristes le lundi de Katherine Pancol
critiqué par Walter Hartright
Le Prince noir de Iris Murdoch
critiqué par Tistou
La Compagnie des Livres de Pascale Rault-Delmas
critiqué par Céba
Le Capitaine est parti déjeuner de Charles Bukowski
critiqué par Etcetera
Le magasin jaune de Marc Trevidic
critiqué par Y. Montmartin
Maison hantée ou Hantise de Shirley Jackson
critiqué par Lou
Twister de Juliette Forrest
critiqué par Laël
Dès 12 ans: Les Lutins urbains tome 1 L'attaque du Pizz'Raptor de Renaud Marhic
critiqué par Oncle Paul
La steppe rouge de Joseph Kessel
critiqué par Eeguab
G comme: Vies volées – Buenos Aires, place de mai de Matz et Mayalen Goust
critiqué par Karine
Il n'y a pas d'internet au paradis de Gaelle Pingault
critiqué par Winnie
Le sillon de Valérie Manteau
critiqué par Keisha
Petite fleur jamais ne meurt de Iosi Havilio